Partouze, BSM, exhibitionnisme, échangisme…Tout cela porte le joli nom de fantasme.
Mais peut-on avouer ses fantasmes ?
Pas toujours simple d’évoquer le sujet avec son partenaire. La timidité, la peur de choquer, la honte et la crainte des réactions peuvent faire taire vos fantasmes les plus sulfureux à jamais.
Alors faire franc jeu ou rester muet ?
Je choisis d’avouer mes fantasmes
Vous avez opté pour l’option de la clairvoyance et de la discussion pour parler de vos fantasmes avec votre conjointe. Ce n’est ni bien, ni mal. La seule chose à faire est de bien aborder le sujet pour ne pas mettre en péril votre relation sexuelle. Rassurez-vous, la prise de risque en vaut souvent la chandelle.
Prendre le temps de discuter de sexe avec l’être aimé est plutôt une bonne chose. Cela montre que votre couple a acquis suffisamment de maturité psychologique et de complicité. Mais dévoiler ses fantasmes n’est pas la même chose que de parler de ses désirs.
Les fantasmes concernent votre jardin secret. Il n’y a donc théoriquement aucune obligation de défricher à deux cette partie du mentale. Mais si vous voulez aller plus loin dans l’expérience sexuelle avec votre partenaire, vous pouvez faire appel à vos fantasmes. Ils servent à ça !
Choisir le bon moment
Vous devez choisir un moment propice pour avouer vos fantasmes. Vous pouvez par exemple préparer un petit apéro pour détendre les langues ou proposer de regarder un film érotique.
Vous pensez peut-être que ces conseils sont ridicules mais cela vous aidera à éliminer les barrières mentales qui vous empêchent de tout dire de A à Z.
Faire le premier pas
En matière de fantasme, c’est toujours le premier pas qui est le plus difficile. Que ce soit d’ailleurs pour en parler que pour matérialiser les choses.
Si vous avez déjà évoqué le sujet avec votre partenaire, vous connaissez alors la réaction de celui-ci. D’ailleurs qu’il/elle soit d’accord ou pas, il y a de fortes chances que votre fantasme alimente déjà son désir sexuel.
Le fantasme avoué peut parfois en rester au stade de l’évocation. Certains couples par exemple adorent parler de leurs fantasmes tout en sachant pertinemment qu’ils ne seront pas réalisés.
En fait cela n’a pas vraiment d’importance. L’objectif est d’enrichir la sexualité de manière concrète et de manière inconsciente.