OKamasutra, rien que le mot, déjà, est joli et évocateur de plaisirs et de découvertes à travers le sexe ! À la base, cet écrit philosophique devait servir à rendre plus accessibles des textes déjà existants dans le but de servir à l’apprentissage des différentes techniques (fellation, pétrissage, sodomie, palper-rouler, percussion, pression glissée, tapotement, effleurage) et positions pendant le rapport sexuel dans le but d’arriver à l’aboutissement du coït, l’orgasme !! Apparemment, il existerait sept livres qui racontent, expliquent et analysent les différentes phases et les préliminaires de la relation (rencontre, comportement…) puis celles de la relation sexuelle (séduction, pratiques sexuelles) et enfin des pratiques « secrètes » (soumission, domination, sadomasochisme, humiliation, punition). Ces ouvrages ont été conçus pour aider les amants à vivre en harmonie grâce aux bienfaits de la sexualité afin d’être heureux en amour et de réveiller les passions des plaisirs charnels. Bon tout ça pour dire que le Kâmasûtra, c’est finalement dans des termes moins obscènes, un sacré bouquin de cul !! Et en Suisse, notamment dans le canton de Berne ou le français se mélange à l’allemand, les corps s’entremêlent à vitesse effrénée.
Un récit érotique pour tous
e pense que la plupart d’entre nous, jeunes pubères, moins jeunes ou vieux pervers, nous avons tous un jour ou l’autre entendu parler de ce livre et de ces illustrations pornographiques !! Pour ma part, j’ai essayé comme la majorité des personnes branchées baise d’en trouver un, mais pas de l’acheter bien sûr, non quelle honte d’acheter un livre sur le sexe… Alors à chaque fois que j’allais chez des amis et que l’alcool aidant, les conversations devenaient un peu plus salaces, je glissais entre deux verres de digestif, la question suivante. « Au fait, t’as déjà lu le Kamasutra ? » Et là, c’était la porte ouverte à toutes les dérives verbales… « Oh putain l’obsédé… Non mais regardez-moi ce petit puceau qui veut se dévergonder et se taper des orgies sexuelles, qui veut jouer avec l’appareil génital de madame Geisha pendant que celle-ci cherchera par tous les moyens de faire sortir le foutre du plaisir de la quéquette de son Samouraï !! » C’était terrible et torride en même temps, car moi de mon côté j’enchaînais de plus belle en jetant de l’huile sur le feu « Ohoh petit pédé ne me la joue pas reine de la vertu, sinon je risque de t’attacher au radiateur avec une paire de menottes et de te fouetter comme un esclave sous le regard ébahi de ta courtisane, que j’obligerais si elle se montrait agressive à se dénuder et se livrer aux pires obscénités avec votre panoplie de Sexe-toy…
Rigoler autour du sexe
Que de parties de rigolade, nous avons pu avoir grâce à ce petit mot magique « Kamasutra » qui rien qu’à son évocation déchaînait les instincts les plus primaires et bestiaux. Les uns parlaient pénétration, les autres répondaient masturbation… Non d’une pipe, leur répondais-je vous oublier la fellation ! Et la soirée se déroulait ainsi, dans le rire, les insanités, les mots obscènes que même les prostituées les plus vulgaires, les putes de basse-cour ou les travailleuses du sexe du bois de Boulogne ne connaissaient pas !! Par contre, tout ce jargon coquin, érotique, sans tabou et sans limite était acquis de part les call girls sur https://bestescortlist.com/facegirl/ ou sur https://demi-mondaine.ch/facegirl .Cette inspiration reste mélodique, avec des tendances spirituelles de la douceur de l’amour, du sexe partagé et des plaisirs consentis. L’amour se fait de diverses manière, gratuites comme payantes, toujours dans l’art de faire plaisir à sa ou son partenaire. Carpediem.