GLe top des pratiques du SM en Suisse

guide du bdsm

Le top des pratiques du SM en Suisse : une dizaine d’experte en BDSM proposent aux clients suisses des pratiques douloureuses et psychologiquement éprouvantes lors de sessions payantes. Le bondage et l’utilisation de menottes, cordes etc. sont des jeux connus dans l’univers du SM ainsi qu’aux yeux des néophytes. Aimer le sexe ne veut pas dire pour autant tout connaitre de la sexualité.

Nombreux sont les hommes à avoir des envies sexuelles plusieurs fois par jour mais ils ne savent pas qu’il y a différent procédé pour jouir via la pratique érotique de la domination et de la soumission. Il est important de préciser une chose : ces pratiques sont mixtes, cela signifie qu’elles sont bien souvent adaptées pour l’homme comme pour la femme car les deux corps ont des zones douloureuses, les deux types de personnes ont un rapport avec l’humiliation et ont des envies voir des besoins de fantasmer sur des scénarios qui sortent de l’ordinaire dans un but érogène.

Fgirl vous offrira tout ce dont vous pouviez rêver en matière de contenu SM. De la fessée qui se passent d’explication à la flagellation en passant par l’asphyxie érotique qui est le fait de priver le partenaire d’oxygène, la pratique de l’ass to mouth que l’on pense attribuer aux escort girls à Genève est en fait bel et bien une pratique reliée au BDSM. En français, c’est l’action qui consiste à mettre la queue de l’homme dans la bouche de la femme directement à la sortie d’une pénétration anale. Cet acte sexuel excite énormément les hommes de la quarantaine pour son coté limite crade qui est en fait une pratique de soumission de la part de femme.

De manière général, les hommes suisses sont vu de l’extérieur comme tant des gens intelligent, riches et compétent dans leur domaine professionnel. Fort de constater que les principaux clients des maitresse et reines de la domination à Lausanne sont ces chefs d’entreprises, PDG et autres responsables avec des stress importants et des vies trépidantes qui sont attiré par se soumettre d’une façon comme d’une autre à une femme dans un contexte de jeu érotique. L’idée pour eux est d’inverser les rôles consciemment et les équilibrer autant que possible dans la souffrance qu’il estime faire subir à autrui toute au long de la journée. Il souhaite ainsi, d’une certaine façon, expier leurs fautes et se faire pardonner. Il ne faut pas oublier que dans cela, monsieur prend son pied le coquin. Cette séance de psychologie à travers la douleur est pour certains politiciens un rituel obligatoire hebdomadaire afin de trouver sa place au sein de la société qui est rythmé par des challenges toujours plus compliqués, toujours plus audacieux et toujours plus rapide.