Les instruments les plus utilisés pour la pratique du SM 

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Il est préférable d’avoir les siens par mesure d’hygiène  mais aussi pour une question de manipulation. Il est parfois aussi difficile de s’adapter à un instrument qui n’est pas à soi qu’à réussir un créneau avec la voiture d’un copain. Un minimum d’entraînement est nécessaire pour l’avoir bien en main  et c’est encore pire avec un instrument neuf. Lorsqu’une certaine dextérité fait oublier la technique et qu’on se prend au jeu  ça vient tout seul !

La cravache  le martinet et la canne anglaise ne laissent aucune marque sur la plante des pieds. La paume des mains était autrefois la cible de prédilection des maîtres d’école qui châtiaient leurs mauvais élèves à coups de règle. Le manche de la cravache et du martinet peut aussi servir de Godemiché. Certains petits martinets au manche prévu à cet effet donnent aux M une démarche canine lorsqu’elles (ou ils) trottinent à quatre pattes.

les menottes en cuir

Le fouet

Il se compose d’une longue lanière de cuir, parfois tressée, terminée par une mèche en corde. Il est difficile à manier et nécessite beaucoup de recul. Je ne le recommande pas aux débutants, à moins de s’en servir comme d’un ceinturon en doublant la lanière.

Le martinet

Debout, à gauche ou à droite des fesses de l’esclave selon que vous soyez droitier ou gaucher, calculez le recul nécessaire. Tenez le manche dans une main, et de l’autre, l’ensemble des lanières par le bout, puis lâchez-les dans le mouvement avec un peu d’élan. De cette façon, les lanières restent groupées au lieu de s’éparpiller autour de la cible. Coup droit ou revers, comme bon vous semble !

La cravache

Après le martinet, vous apprécierez la souplesse de ce fouet d’origine turque. Il en existe de toutes sortes. Molles, flexibles, plus ou moins rigides, fines, épaisses, habillées de fil ou de cuir tressé, etc. Il est préférable de les essayer sur votre jambe avant l’achat, évaluant la dureté de l’une ou de l’autre en fonction de l’usage auquel vous le destinez.

La main

Grâce à l’innocence qu’elle suppose, la fessée est la pratique la mieux tolérée par le qu’en dira-t-on. Elle a été administrée de tout temps par les aristocrates et les bourgeois comme par les gens du peuple, à leurs enfants et à leurs épouses. Une bonne fessée est sexuellement excitante, puisque la région des fesses est particulièrement érogène. Dans les pratiques sadomasochistes, c’est la punition la plus répandue.